Cette écofiction est pour vous si :
- Vous aimez le sport, les voyages, l’écologie, la géopolique, les coulisses du pouvoir, les histoires un peu foutraques de parents épuisés… eh oui, tout ça, et plus encore, en un seul roman !
- Vous appréciez les intrigues noires assaisonnées de cynisme, d’irrévérence et d’ironie mordante.
- Vous trouvez important que l’on traite de sujets graves, dramatiques et sérieux mais préférable qu’on les aborde avec légèreté et avec une bonne dose d’humour.
- Vous vous demandez parfois comment territoires et populations feront face si le pire arrivait.
Le mot de l’éditrice
« J’adore le sport. Les JO ont rythmé ma vie scolaire et chaque édition est restée dans ma mémoire, avec ses anecdotes, ses succès, ses tragédies aussi, mais toujours cette fête. Ces Jeux adulés ont pris inéluctablement un goût amer au cours des dernières années jusqu’à en devenir insupportables tant ils bafouent toute considération écologique, économique, éthique, sociale et sociétale. Alors quand je reçois ce manuscrit, je me dis que oui, c’est tout à fait possible tant le monde est devenu fou et carbure à la vitesse de la lumière, tant le dérèglement climatique s’est emballé – juste à voir la météo des derniers mois. La lecture de ce texte m’a fait un bien fou : il appuie là où ça fait mal, il laisse apparaitre des espaces d’espérance. Il donne le pouvoir aux mots, il peut libérer la parole et faire avancer notre posture, nos choix, nos actes. And last but not least : la construction est magistrale. L’auteur déroule les gammes d’écriture, de style et de champ lexical tout en maîtrise. L’enchevêtrement des genres, des sujets, des procédés rend le tout inclassable mais ô combien haletant, passionnant et étourdissant. »
L’auteur
L’inaction des politiques, la gravité et l’urgence de la situation, les limites de l’action militante, l’impréparation des territoires et l’absence totale de culture du risque sont autant de réflexions que de prises de conscience qui ont conduit Laurent Fayeulle à imaginer cette histoire. Ironie du sort : parmi les catastrophes imaginées pour les besoins du récit, plusieurs se sont déroulées ces mois derniers sur son propre territoire.